Le cours du Bitcoin chute – Trump convoque ses conseillers dans la Situation Room

Bitcoin a chuté de 2.000 dollars la nuit dernière, alors que les tensions au Moyen-Orient continuent d’escalader. Le président Donald Trump a quitté prématurément une réunion du G7 et a ensuite posté un message préoccupant sur Téhéran.

Trump convoque le National Security Council

Le cours du Bitcoin a eu des difficultés, car Trump avait demandé que le National Security Council (Conseil de sécurité) soit présent à la Maison Blanche pour des consultations avant son retour.

Sur Truth Social, Donald Trump a posté le message suivant : L’Iran aurait dû signer l'”accord” que je leur avais ordonné de signer. Quelle honte, et quel gaspillage de vies humaines. En bref : L’IRAN NE DOIT PAS AVOIR D’ARME NUCLÉAIRE. Je l’ai dit à maintes reprises ! Tout le monde doit évacuer Téhéran immédiatement !”

Ce sont des textes qui indiquent qu’Israël va de nouveau lancer de lourdes attaques sur l’Iran. Ce n’est pas pour rien que Trump crie que tout le monde devrait immédiatement quitter Téhéran.

Initialement, Bitcoin a réagi par une baisse assez marquée. Cependant, le cours s’est depuis lors rétabli à 107.278 dollars. Cela représente même une hausse de 0,91% par rapport à il y a 24 heures.

Bitcoin reste indifférent à l’agitation géopolitique

Ainsi, Bitcoin semble pour l’instant peu affecté par l’agitation géopolitique. Le cours réagit de manière quelque peu volatile à Donald Trump convoquant son conseil de sécurité.

Mais il n’y a pas non plus de réaction extrêmement forte. Ce ne sont pas des mouvements de prix qui brisent complètement la tendance haussière de Bitcoin. À cet égard, la monnaie numérique semble très robuste.

D’ailleurs, il est logique que le Moyen-Orient ne provoque pas une panique complète sur les marchés financiers. Après tout, cette région est responsable d’une part relativement petite du revenu mondial.

Ils produisent juste beaucoup de pétrole, ce qui peut être pertinent pour les prix du pétrole. Cela a également été observé après la première attaque d’Israël. À ce moment-là, le prix du pétrole avait grimpé.